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Survole d'un ovni au-dessus de Rendlesham...
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Plusieurs témoins aperçoivent un ovni, deux nuits de suite, atterrir dans une forêt, en Angleterre.
En 1980, au lendemain de Noël, de nombreux témoins aperçurent un ovni atterrir dans la forêt de Rendlesham, près d'une base de l'OTAN.

Dave Roberts et son amie se reposaient tranquillement dans le sous-bois, profitant de quelques instants en tête-à-tête... quand ils furent soudainement éblouis par une lumière aveuglante. Au loin, un bruit de branches qui craquent... quelque chose s'était écrasé dans la forêt. Paniques, ils rassemblèrent leurs affaires en hâte et prirent la fuite. Au même moment, une Jeep militaire se dirigeait en trombe vers le point d'impact. La nuit s'emplit de sirènes ; phares de voiture et lampes torches balayaient la forêt. Manifestement, un incident d'une importance considérable venait de se produire. L'armée était déjà sur le pied de guerre...

TÉMOIGNAGES CONCORDANTS
Non loin de là, à l'orée de la forêt, un certain Gordon Levett jouait avec son chien de garde dans son jardin... lorsqu'il aperçut un étrange objet traversant les cieux dans sa direction. L'ovni -comme il le racontera plus tard- avait la forme d'un champignon renversé et il était de couleur verdâtre. Après s'être immobilisé quelques instants au-dessus des toits, il reprit sa route en silence vers Woodbridge, la base aérienne de l'OTAN. Le lendemain matin, le chien de Levett devait tomber inexplicablement malade ; tapi au fond de sa niche, il fut pris de tremblements. Son état empira rapidement et il mourut au bout de quelques jours... Avis du vétérinaire: le chien avait été empoisonné. Mais «par qui ou par quoi ? », s'interrogeait Levett...
Même jour, même heure : de retour d'une soirée chez des amis, la famille Webb, des voisins de Gordon Levett, rentraient chez eux en voiture... quand ils virent passer au-dessus de la cime des arbres une énorme lumière blanche. Elle se dirigeait droit sur Woodbridge et Bentwaters, les deux bases aériennes de l'OTAN, situées dans la forêt de Rendlesham. Les vols militaires sont fréquents dans la région, des chasseurs A-10 et des hélicoptères Chinook troublent souvent le calme de la nature; les habitants y sont habitués. Mais ces lumières-ci étaient différentes...En ce 26 décembre 1980, au lendemain deNoël, tous les témoins affirmèrent avoir vu la même chose. Nous sommes en Grande-Bretagne, à Rendlesham, une vaste forêt de pins qui s'étend jusqu'à la mer à l'est de la ville d'Ipswich.L'objet apparaît subitement au-dessus de la routeB, descendant lentement à travers les bois entre les villages d'Orford et de Woodbridge. Ensuite, l'ovni plonge dans la forêt, à proximité des bases aériennes de l'OTAN... La suite est l'affaire de l'armée. Les témoignages les plus précis et les plus troublants émanent donc de militaires. Mais, avec la « Grande Muette », tout va se compliquer...

PANIQUE SUR LA BASE
Ce soir-là, deux hommes sont affectés au poste de garde à l'entrée Est de la base de Woodbridge. John Burroughs et Budd Parker, des soldats de l'US Air Force. Placés aux premières loges, les deux Américains vont assister à un « sons et lumières » extraordinaire en cette nuit du 26 décembre 1980.
L'engin se dirigeait vers la forêt... Burroughs et Parker crurent d'abord qu'il s'agissait d'une erreur de pilotage; l'avion allait s'écraser sur les arbres. Mais il se produisit alors quelque chose d'anormal. L'objet ralentit et descendit doucement vers le sol; sa trajectoire semblait parfaitement contrôlée. Il n'y eut ni impact, ni explosion au moment où il toucha terre. Mais juste un festival de lumières multicolores qui, selon les témoins, évoquait un gigantesque arbre de Noël. Image de circonstance...
Burroughs se précipita au téléphone afin d'appeler la base. Il était deux heures du matin et aucun avion n'avait été signalé dans la zone. Quelques minutes plus tard, le sergent Jim Penniston sautait dans une jeep pour se rendre vers le lieu présumé de l'atterrissage. Un certain Herman Kavanasac était au volant. Le sergent Penniston avait reçu des instructions claires : il fallait traiter cette affaire de toute urgence.

Une fois sur les lieux, Penniston et son chauffeur constatèrent par eux-mêmes ce qui se passait: d'étranges lumières vacillaient à travers les arbres. Les couleurs, un peu irréelles, étaient très plaisantes à regarder. Curieux et beau spectacle. Mais le sergent Penniston n'était pas du genre contemplatif... pour lui, il devait s'agir d'un avion en flammes, écrasé en pleine forêt. Cependant les deux premiers témoins, Burroughs et Parker, demeuraient toujours convaincus que quelque chose avait atterri.
Budd Parker est laissé à l'entrée Est de la base pour monter la garde tandis que Jim Penniston, accompagné de John Burroughs et Herman Kava- nasac, s'enfonce dans les profondeurs de la forêt. Premier phénomène curieux : à leur grande surprise, le contact radio avec la base est inter- rompu. Brouillé par un champ magnétique d'origine inconnue. Le sergent ordonne alors à Kavanasac de se garer et de rester en arrière, à la limite de la zone de brouillage; il pourra ainsi assurer le relais des communications... au cas où les choses tourneraient mal.
Penniston et Burroughs pénètrent donc dans les bois, seuls. Penniston s'attend toujours à découvrir l'épave d'un avion en flammes. Mais à l'approche d'une clairière, d'autres phénomènes étranges se produisent. L'atmosphère se charge d'électricité... Les cheveux des deux hommes se dressent sur leur tête, ils ressentent des picotements sur toute la peau.

RENCONTRE DU DEUXIÈME TYPE
Maintenant, l'engin se trouve là, juste devant eux. Il ne figure dans aucun manuel d'aviation. Il est en forme de cône, de la taille d'une petite automobile, et flotte à 30 centimètres au-dessus du sol. Il semble appuyé sur des rayons de lumière -d'autres témoins décrivirent plus tard des pieds métalliques très fins. Entouré
d'une sorte d'aura brumeuse, il porte des symboles noires. Peut-être s'agit-il d'une écriture inconnue.
Il fallut quelques instants à Penniston pour s'arracher à cette vision hors du commun. Vite, en tant que responsable, il lui appartenait de tirer les chose au clair. Il voulut s'approcher mais... impossible de s'approcher de l'objet à pied. « C'était comme d'essayer de marcher dans la mélasse », dira- t-il plus tard. Les deux hommes s'y reprirent à plusieurs fois, mais il leur était impossible de faire un seul pas en avant.

Subitement, un éclair se produisit. Au même moment, l'engin monta droit vers le ciel. Et la forêt retentit de mille cris; tous les animaux détalèrent à la recherche d'un abri, tous les oiseaux s'envolèrent... Quant à Penniston et Burroughs, ils restèrent là, bouche bée, tandis que l'ovni disparaissait dans les cieux noirs.

LA THÉORIE DU PHARE
Par la suite, John Burroughs devait déclarer: «Je ne sais pas si ce que nous avons vu était une machine contrôlée par une intelligence extraterrestre ou si c'était un phénomène naturel fantastique, comme une forme d'énergie très rare. En tous cas, il est impossible de décrire avec des mots cette merveille.» Le récit des deux militaires, en partie corroboré par les autres témoignages, pourrait sembler irréfutable. Et pourtant... suite à l'incident, des voix s'élevèrent ici ou là pour avancer des théories... plus ou moins crédibles. Il s'agissait d'expliquer l'inexplicable, en un mot d'exclure par tous les moyens l'hypothèse extraterrestre. L'astronome lan Ridpath, qui comptait par miles sceptiques, proposa le scénario le plus intéressant. Ridpath découvrit que, durant la nuit du 26 décembre 1980, un météore particulièrement lumineux avait survolé cette région de l'Est de l'Angleterre vers 2 h 50 du matin. C'est ce météo-re que les soldats Burroughs et Parker auraient aperçu depuis leur poste de garde. Une fois dans la forêt de Rendlesham, sous l'emprise de ce décor nocturne et inquiétant, les militaires prirent pour un ovni ce qui n'était en fait que... le faisceau du phare de Orford Ness, situé à 6,5 kilo- mètres de là. Et Ridpath de conclure ironique- ment: «Il est très embarrassant pour les ufologues sérieux que certains continuent à attacher de l'importance à cette affaire.» Et Charles Hait, commandant en second de la base de Woodbridge, de lui rétorquer: «Un phare ne se déplace pas dans une forêt, ne change pas de forme, et n'oriente pas ses propres faisceaux vers le sol ! » Les deux militaires sont en outre formels : ils virent bien les faisceaux du phare, mais en même temps que l'ovni.

AUTRES THÉORIES
D'autres théories, beaucoup moins crédibles, ont été avancées. D'après le psychologue Nicholas Humphrey -qui fit part de ses conclusions dans un film documentaire tourné pour la chaîne de télévision britannique Channel 4- l'ovni n'était en fait que la sirène de la voiture de police qui se rendit dans la forêt. Cependant, les archives officielles indiquent très clairement que la voiture de police n'est entrée dans la forêt qu'après la rencontre avec l'ovni. L'astronome John Mason prétend que l'engin vu dans le ciel par les nombreux témoins était une fusée russe entrant dans l'atmosphère terrestre. De fait, elle fut également aperçue par de nombreuses personnes dans le sud-est de l'Angleterre et aurait pris l'apparence d'une «boule de feu naturelle émettant une lumière très vive». D'autres enfin prétendent que l'ovni était un réacteur nucléaire se trouvant à bord d'un avion qui s'était écrasé. Mais il n'y a aucune trace de débris; aucun avion ne semble s'être crashé...
Ce genre de théorie fournit peut-être une porte de sortie à ceux qui refusent d'envisager une explication extraterrestre. Et il faut reconnaître que le silence officiel ne fait qu'ajouter à la suspicion. En effet, les autorités autant militaires que politiques ont tout fait pour étouffer l'affaire. Et on ne doit qu'à la persévérance de l'ufologue britannique Jenny Randies la révélation du «Roswell britannique». N'oublions pas que la rencontre eut lieu dans une zone militaire très sensible... On raconte même que les bases aériennes de Wood- bridge et Bentwaters abritent des agents de la National Security Agency (NSA), la plus grande organisation de renseignements américaine. Qu'il s'y déroulerait des expériences ultra secrètes. Était-ce des raisons suffisantes pour expliquer que le gouvernement britannique se soit toujours refusé à faire une enquête? Et pourtant, Rendlesham devait encore être le théâtre de phénomènes inexplicables...


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