Le Plateau d'Albion
Au début des années 1970, le plateau d'Albion (département 84 en France) n'était qu'un immense chantier taraudé par une vingtaine de fosses profondes destinées à devenir les futurs silos de missiles à têtes nucléaires. Outre ces silos, d'énormes excavations, plus profondes, allaient abriter les installations souterraines et secrètes de cette base, installations répliquant plus ou moins les installations de surface, mais avec un peu plus de mystère ...
Un soir, après l'arrêt des travaux de la journée, un vieux monsieur, instituteur à la retraite, se promenait à travers le chantier lorsqu'il tomba nez à nez avec un être de petite taille, à la tête volumineuse, à la peau grise, qui le fixa brièvement de ses grands yeux obliques avant de disparaître. Médusé, sans cacher la peur qu'il avait éprouvé, le retraité narra son histoire à une personne tout à fait digne de foi.
(Il faut savoir qu'à cette époque en France personne ne parlait d'E.B.E. ou de Gris.)
Vers la fin des années 1980, nous apprenons par une source très sûre que des commandos investissent la base en prenant le contrôle total de celle-ci malgré les militaires déjà sur place.
Ces hommes en uniformes noirs prennent leurs repas entre-eux, utilisent des boîtes de rations alimentaires apportées par eux. Sur leur uniforme, ils arborent au niveau du coeur, un insigne rond représentant un éclair stylisé et, sur l'épaule gauche, il y a un écusson avec un triangle. Nos divers informateurs (indépendants les uns des autres) n'étaient pas suffisamment près de ces commandos pour pouvoir décrire ces insignes plus en détail.
Ces individus, aperçus une nuit en réunion, avaient tous le teint anormalement clair, blanchâtre, et l'expression quasi-figée. D'après nos divers informateurs, ces individus ne sortaient que la nuit et personne ne put les apercevoir de jour.
Ces hommes étranges rendaient terriblement anxieux les chiens de patrouille dans leur chenil. Quand ils investissaient la base (alors placée en stade d'alerte maximum) ces individus prenaient sous leur contrôle les postes de conduite de tir. L'accès à ces postes était, dans ces cas, prohibé, même à ceux qui, d'ordinaire, y sont librement admis. La salle des ordinateurs, ultra-protégée, dans laquelle l'on ne pénètre qu'à l'aide de carte magnétique à code, était occupée la nuit par ces commandos. Les militaires de la base s'en étonnèrent mais reçurent ordre de ne pas en faire état.
Les placards personnels des militaires furent fréquemment fouillés, les appareils photo confisqués. Il ne faisait pas bon non plus de tenir un journal intime en consignant les incidents bizarres constatés sur le site, surtout lorsque ces commandos contrôlaient la base. Certains possesseurs de journal intime se retrouvèrents à l'hôpital, sauvagement tabassés.
Ces commandos arrivaient dans des camions et des voitures peints tout en noir, la plupart immatriculés dans le 75. Ils repartaient au bout de 48 heures, sans préavis, et l'état-major initial de la base reprenait alors les pleins pouvoirs, comme si de rien n'était.
Voici maintenant la transcription d'une cassette audio du témoignage d'un ancien maître-chien du plateau d'Albion (celui-ci, après son témoignage, a totalement disparu).
Le témoin :
"J'ai effectué mon service militaire en tant que maître-chien sur le plateau d'Albion.
J'ai été témoin de faits troublants durant mon séjour sur cette base. Je puis vous affirmer que de temps en temps des commandos totalement étrangers à la base prennent le contrôle de celle-ci pendant plus ou moins 48 heures. Ils arrivent en convoi spécial, camions et voitures de couleur noire, leurs uniformes sont aussi de couleur noire, ils sont très grands avec une peau de couleur très blanche et portent en permanence des lunettes noires. Ces hommes ne se mélangent jamais avec les autres militaires de la base et ils prennent le contrôle total de celle-ci. Ils reçoivent leur nourriture par camions spéciaux et on ne peut les apercevoir que la nuit.
Un soir, j'étais de garde avec mon chien et je suis passé à proximité d'une grande salle en sous-sol qui ne possédait que quelques petites fenêtres en hauteur. En passant devant ces petites fenêtres, mon chien est devenu très nerveux. J'ai alors regardé par une de ces fenêtres et là j'ai vu ces hommes en réunion. La nuit était totale et personne ne pouvait m'apercevoir. Cependant, au bout de quelques instants, un de ces hommes s'est retourné en direction de cette fenêtre (comment a-t-il su que j'étais là, je ne le sais pas). A ce moment-là, une peur incompréhensible s'est emparée de moi et mon chien est devenu complètement fou. J'ai tiré mon chien et je suis parti très vite continuer mon tour de garde.
Un autre soir, étant encore de garde, j'aperçois par une fenêtre d'un local hautement sécurisé des faisceaux de lampes torches comme si quelqu'un cherchait quelque chose. La base était depuis l'arrivée de ces commandos en stade maximum d'alerte. J'avertis par radio l'officier de garde de cette anomalie mais celui-ci me fit comprendre de passer mon chemin et que je n'avais rien vu.
Je ne sais pas pourquoi mais à la fin de mon tour de garde j'ai consigné cette observation sur un carnet.
Le lendemain matin, un officier me fait appeler pour me dire que ceux que j'avais vu la nuit précédente étaient certainement une hallucination. Par la suite, en rentrant dans ma chambre, mon placard personnel avait été fracturé et mon carnet de note ainsi que mon appareil photo avaient disparu.
Un ami aussi maître-chien avait, lui, pu prendre des photos de certaines choses anormales et il avait aussi dessiné un portrait d'un de ces hommes. On a retrouvé mon ami sauvagement tabassé à l'extérieur de la base et, bien sûr, son placard avait été vidé complètement.
Comment avait-il fait pour sortir de la base alors que celle-ci était en alerte maximum et que personne ne pouvait sortir ? Ses blessures étaient tellement graves qu'un hélicoptère est venu le chercher pour le rapatrier à l'hôpital militaire de Laveran à Marseille.
Quand ces commandos étaient sur la base, on avait interdit aux maîtres-chiens certaines zones. L'explication des officiers était que les chiens sont trop sensibles ...!
Les chiens avaient une peur terrible de ces hommes. Quand les commandos étaient sur place, tous les soirs ils hurlaient en bavant anormalement et en se tapant la tète contre les grilles de leurs cages et cette situation était invivable. Au lever du jour tout redevenait normal.
Le vétérinaire (appelé du contingent et faisant des études pour devenir vétérinaire titulaire) était très étonné de la réaction incompréhensible des chiens. Il a voulu en savoir plus et a fait des prélèvements de salive et de sang sur quelques chiens mais un officier lui a ordonné de laisser tomber ces analyses.
Quelques jours plus tard, mon chien est tombé malade et un autre vétérinaire totalement étranger à la base est venu le chercher. J'ai protesté vivement car je pense qu'on aurait pu le soigner sur place. C'est alors qu'un capitaine est venu vers moi en me disant c'est une affaire top-secret. Par la suite j'ai su que mon chien était mort et qu'il avait subi une autopsie."
Ce témoin nous fait savoir qu'un autre maître-chien de l'époque a réussi à faire divers croquis des ces hommes et qu'il va nous mettre en rapport avec lui.
N'ayant plus de nouvelles de ce témoin, j'appris par ses collègues de travail que cela faisait plusieurs semaines qu'il n'était plus venu travailler. Son employeur avait contacté la famille et celle-ci était très inquiète car il avait totalement disparu.
Autre témoignage effectué en 1991 :
Cette personne travaille sur la base (mais je n'en dirais pas plus pour raison de sécurité). Elle me confirme qu'effectivement il arrive que des commandos investissent le plateau d'Albion (la description des uniformes et des hommes concorde totalement avec les autres sources d'informations).
Ces hommes effectivement ne se déplacent que de nuit et prennent leurs repas indépendamment des autres militaires avec des rations qui leurs sont expédiées pour être totalement indépendants.
Encore un autre témoignage de 1991:
Un officier de réserve du plateau d'Albion m'a affirmé que les pilotes d'hélicoptères de cette base ont à plusieurs reprises vu des OVNI sur le site et qu'il existe également un dossier "top-secret OVNI" avec des photos de ces engins. Il m'affirme également que des engins ont été observés pratiquement au ras du sol. Ce témoin ne m'en dira pas plus.
Des spéléologues amateurs décident d'explorer un gouffre à proximité du plateau d'Albion. Ils progressent dans diverses galeries et puits, et arrivés à un troisième puits, ils décident de prendre un peu de repos. Un des spéléologues - Mr X - décide de poursuivre et descend dans le puits. Arrivé au fond de ce puits, il aperçoit une lumière bizarre ... Il avance et s'aperçoit que cette galerie est en fait une ouverture artificielle donnant dans une immense salle au sol blanc, lisse comme un miroir et éclairé par une lumière orange sans source apparente. Dans cette salle se trouve cinq ou six fauteuils blancs et de formes bizarres.
Inquiet, il décide de remonter vers ses camarades pour leur faire part de sa découverte. Les spéléologues décident donc de refaire surface et de revenir avec appareils photos et caméra vidéo. Un peu plus tard, Mr X décide de revenir explorer ce gouffre mais, arrivé au troisième puits, celui-ci avait été totalement obstrué par une dalle de béton. La personne qui a receuilli et fait son enquête sur le plateau d'Albion (Patrick Gamb) a reçu des menaces :
Citation : "Quelques temps plus tard et à la suite de ces témoignages, sur le lieu de mon travail, un homme qui, je présume, travaillait pour les services spéciaux, est venu me menacer. Ses paroles étaient très claires : «Tu possèdes une petite famille et une bonne place et il serait dommage que tu perdes tout ceci !».
Je n'ai absolument pas tenu compte de cette menace et c'est alors que mes deux amis et moi avons reçu des lettres anonymes, des harcèlements téléphoniques accompagnés de menaces ou d'émissions de vibrations qui vrillent le tympan et autres bruits des plus pénibles, des brouillages de nos de téléphones, des sabotages de nos véhicules, des interceptions et viols de nos correspondances. Il y a eu également la disparition pour le moins curieuse, pendant quatre mois, des dossiers de nos plaintes déposées au Parquet. Il nous a même été clairement signifié que l'on n'hésiterait pas à nous compromettre dans divers trafics plus ou moins illicites."
Certainement, il doit exister des bases de Gris en France et sans doute sous le plateau d'Albion. Diverses mutilations de bétail se sont produites entre le plateau d'Albion et le camp militaire de Canjuers et diverses observations d'OVNI ont également été constatées dans le secteur du plateau d'Albion, de la Javie, de Rians et de Canjuers.
A vous maintenant, lecteurs, de vous faire une opinion sur ces faits très étranges et malheureusement véridiques.
Vous pouvez aussi ne pas croire à tout ceci, mais sachez quand même une chose, le plateau d'Albion est en principe maintenant démantelé, alors pourquoi la Légion Etrangère avec 1000 hommes va-t-elle rester sur le plateau en permanence ?
Y aurait-il dans le sous-sol d'autres choses incroyables au point d'interdire l'accès de certaines zones même aux scientifiques ?
Certaines personnes vont crier au mensonge, au canular, et même dire "ça y est, la rumeur des U.S.A. arrive en France" mais les faits et les témoignages sont là !
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