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Tout sur ce qui concerne les prototypes allemands.
Des dizaines de plans ont été récupérés avec l'opérations Paper clip, mais l'on ne parle pas de tout
On vient de fêter les 60 ans de la fin de la seconde guerre mondiale. Tout paraît avoir été écrit sur cette période tragique de l'histoire. Des milliers d'ouvrages, d'articles, de films, de documentaires, de commentaires… Tout a été dit... C'est ce que beaucoup pensent. Il s'avère qu'un aspect méconnu de la guerre n'a quasiment jamais été présenté au grand public. Les nazis avaient construit, sur la fin du conflit, toute une série d'armes secrètes volantes. On pense aux fameux V-1 et V-2, et aussi à plusieurs avions expérimentaux tels que les projets Sack AS6, Horten Ho-229, Heinkel P 1078 B, Bachem Natter 349 A ou à l'énigmatique BMW Flügelrad V2. Ces engins non conventionnels, propulsés par hélice(s) ou réacteur(s), étaient soit circulaires, soit en forme delta. Ils possédaient une silhouette insolite largement en avance sur l'époque. Les nazis auraient également conçu les Vril et Haunebu, véritables soucoupes volantes à décollage vertical. Durant des décennies, ces projets ont été ignorés du grand public. Entre mythe et réalité, nous levons ici le voile après une longue enquête.

Les prototypes allemands des armes secrètes de l'axe. Principalement ceux de forme oval.

Ci-dessus, reconstitution d'une Haunebu III
 
Le dossier des O.V.N.I.S pose de nombreuses interrogations. Les spécialistes s’opposent régulièrement sur la pertinence des dossiers et sur leur authenticité. Mais que l'on parle de soucoupes volantes, d'O.V.N.I.S, de mystérieux objets célestes ou d'autres phénomènes aériens non identifiés, un faisceau de présomptions se dégage. Le dossier O.V.N.I est un fait que l'on ne peut plus nier. Sa nature est sociologique et/ou physique, suivant le coté où l'on se place ; pour ou contre. Aujourd'hui, il est difficile de rejeter les témoignages et les documents, les pièces du puzzle sont trop nombreuses. Pourtant, il y a un volet du sujet que tout le monde ignore ou ne souhaite pas aborder : celui des prototypes secrets nazis. Il faut bien reconnaître que le sujet est délicat. Beaucoup de facteurs entrent en ligne de compte et prêtent à confusion. D'un côté, il y a les ufologues qui pensent à une opération de désinformation visant à écarter l’hypothèse extraterrestre. Se sentant directement attaqués, certains se hérissent au point d'atteindre l'aveuglement et l'intransigeance. De l'autre côté, vous avez les politiques, totalement incultes en matière d'O.V.N.I.S, et qui envisagent forcément la question des soucoupes volantes nazies comme une opération de propagande néo-nazie. Suspecter par les uns et les autres, comment garder la tête froide et chercher la vérité sereinement ? Pourtant les questions sont pertinentes : les Allemands, à la fin de la seconde guerre mondiale, auraient-ils testé des appareils volants circulaires, autrement dit des soucoupes volantes ? Ces appareils, dès 1944, auraient-ils pu être observés et constituer les premiers témoignages de l'ufologie ?

 

 

 Une soucoupe photographiée par un témoin dans les années 50. La similitude avec la Haunebu I est surprenante !
 
Des O.V.N.I.S Allemands dans les années 50

Tout commence dans les années 50. La seconde guerre mondiale est terminée, le Reich a été vaincu, les alliés se sont partagés l'Europe et les nations se reconstruisent. Des informations commencent à circuler dans les milieux autorisés. Les fameuses soucoupes volantes observées dès 1947 ne viendraient pas d'ailleurs, mais seraient des essais délocalisés d'engins secrets, récupérés par les Américains auprès des nazis. Ce qui est d'autant plus troublant, c'est que des témoins de l'époque prétendent avoir observé des engins discoïdaux, posés au sol, et avoir conversé avec des personnages humanoïdes grands et blonds, dont certains parleraient Allemand ou avec un fort accent Allemand. Ils seraient vêtus d’une sorte d'uniforme (le mythe des Aryens resurgit ?)... ! La célèbre aventure de George Adamski ( dont un article sur notre site en parle ) contient d'ailleurs des éléments nous rapprochant de l'Allemagne vaincue. Des indices surgissent lors de son supposé contact avec un "Vénusien", épisode survenu en Californie en 1952. Lors de la première partie de son histoire ; le 20 novembre à « Desert Center », six personnes assistent à la scène : George Adamski est à quelques mètres d'une sorte de vaisseau posé au sol, à coté duquel se tient un être blond. Après l'observation, George Adamski et ses amis constatent des traces sur le sol. Ces traces ont été faites par les chaussures du "Vénusien". Sur les marques relevées, on voit, sur l'empreinte du pas droit une croix gammée en deux exemplaires : l'une sur le talon, l'autre sur la plante des pieds ! Ce n'est pas tout. Le 13 décembre, l'astronef "Vénusien" revient et survole la vallée proche de l'endroit où habite Adamski. Ce dernier prend plusieurs clichés surprenants de l'engin volant mystérieux. Un objet est lancé depuis l'astronef, c'est une plaque photographique qu’Adamski donne à développer. Dessus figurent plusieurs signes étranges, dont une croix gammée et, il est vrai, d'autres symboles non traduits à ce jour !
 

A gauche, dessin réalisé d'après le témoignage d’Adamski. Noter de quelle manière le "visiteur" le salut ! ; A gauche, une photo faite par Adamski. Regarder plus bas et comparer la similitude avec la Haunebu II
 
Trois précisions sur Adamsky ...
Nous savons aujourd'hui que les clichés de soucoupes volantes pris par George Adamski sont sans doute des faux ; en tout cas les preuves de leur authenticité manquent. Le document lancé depuis le vaisseau "Vénusien" reste étrange. Le symbole de la croix gammée n'a pas été inventé par les nazis mais l’Hitlérisme a impressionné les mémoires collectives avec ce symbole funeste. L'histoire d'Adamski comporte bien plus de signes faisant le lien entre les dossiers ufologiques des années 50 et l'Allemagne nazie. Nous n'en tirons aucune conclusion mais estimons que certaines coïncidences ici sont troublantes. Hasard, « synchronicité » ou présence intentionnelle, observer bien la soucoupe volante dite d'Adamski dont on trouvera la trace à travers plusieurs témoignages un peu partout dans le monde...
 

Photo de la Haunebu II en Allemagne pendant la seconde guerre mondiale. Noter la similitude avec la photographie prise par Adamski.

 
Regarder bien le design, avec cette "jupe", ce dôme, il y a curieusement quelque chose de totalement "germanique" dans l'ergonomie de cet engin ! Si les nazis avaient dû construire un O.V.N.I, il aurait forcément ressemblé à cette image, un engin massif, entre le casque, le sous-marin et le tank allemand. L'architecture et le design reflètent complètement la philosophie d'un peuple. Les Américains, les Soviétiques, les nazis avaient chacun leur style bien personnel qui en disait long sur les mentalités et les régimes politiques en place. C'est ce genre de détail qui sème le trouble. S'il s'agissait d'un simple montage, d'une vaste opération de désinformation, les services secrets auraient-ils été capables d'intégrer, d'imiter, de contrefaire et finalement d'inventer des modèles d'engins "dans l'esprit et la philosophie nazis au point de conférer à ces derniers une fracture parfaitement germanique ?
 
L'apparition des V-7
Dans le milieu ufologique Français, on a commencé à parler des V-7 (RFZ 6) dès 1956. C'était 10 ans après la fin de la seconde guerre mondiale et on peut penser que quelques informations avaient filtré. C'est Charles Garreau, journaliste et ufologue, qui fut l'un des premiers à traiter du sujet. Il ne cita pas ses sources directes, mais le professionnalisme du personnage que nous avons connu laisse à penser qu'il avait recoupé ses informations avant leur parution. Pour Charles Garreau, c'est le 17 mai 1944 qu'aurait eu lieu le premier vol d'une arme secrète allemande, le V-7 (ou RFZ 6). Les nazis travaillaient sur ces engins spéciaux depuis 1943 dans des laboratoires d'essais de Stettin, Dortmund, Essen et Peenemünde.

Carte de l'Allemagne en 1938 vous permettant de situer Stettin, Dortmund, Essen et Peenemünde. C'est à Peenemünde et Stettin que furent étudiés les prototypes d'O.V.N.I.S du Reich
 
Le premier appareil était une sorte d'hélicoptère discoïdal : le Vergeltungwaffe Sieben ou arme de représailles 7. Les informations sont précises sur cette première version du V-7 : hélicoptère supersonique, équipé de douze turboréacteurs BMW, altitude atteinte de 20.000 mètres, 5.500 chevaux développés, poids 2.900kg. L'engin est présenté comme ayant la forme d'un disque aplati de 21m de diamètre. Quelques photos ont circulé à l'époque, montrant seulement le prototype à l'échelle d'une maquette au 1/10ème. La fin brutale de la guerre aurait causé l'abandon de ce projet. Très rapidement, un autre personnage entre en scène. Il s'agit de Richard Miethe, un ingénieur allemand qui aurait travaillé sur le V-7. Pour lui la chose était simple : Les Russes se sont emparés de ses plans et ont réussi à développer le projet derrière le rideau de fer. C'est l'époque où Miethe est contacté par les États-Unis pour venir y travailler. Quelques années plus tard, le projet Américano-Canadien Avro voit le jour. C'est un fiasco. La soucoupe volante construite en Amérique ne dépassera jamais le stade des essais. Mais ce projet à destination du grand public n'est-il pas un échec voulu... ? Malgré que cela n'est jamais marché puisque que la machine ne dépassera jamais 2 mètres de hauteur avec une instabilité total.
 

 
Un document russe déclassé et rendu public en 2005, montre la photo d'une soucoupe volante russe expérimentale, construite durant la guerre froide. L'objet est photographié depuis un poste d'observation en hauteur et montre une vue complète de l'objet circulaire, posé au sol. Ceci apporte du crédit aux déclarations de Miethe ! Autour de Richard Miethe, d'autres noms vont circuler, ingénieurs et chercheurs allemands comme Georg Klein, Andreas Epp ou Shiever qui dirigeait le bureau de recherche à Berlin pendant la guerre. Ces personnages feront quelques déclarations à la presse sur l'existence du V-7 (ou RFZ 6). La controverse éclatera dans les années 50, chacun y allant de sa critique : "tout est faux, ces spécialistes affabulent et inventent des histoires pour les journalistes naïfs..." clameront les détracteurs. Si la preuve du vrai n'a jamais été apportée à ce moment-là, la preuve du faux ne l'a pas plus été. Le débat reste donc ouvert.
 

En bas , V-7 (ou RFZ 6) en vol ; En haut, un des nombreux plans de la RFZ 6. Attention à ne pas confondre la V-7 qui est la RFZ 6 avec la V7, la Vril n°7 !
 
La presse révèle le sujet dès 1944
En faisant une recherche approfondie, on constate que dès les années 40, la presse commence à faire allusion à des essais secrets allemands de prototypes volants non conventionnels. « L'associated press et Reuter » diffuse les 13 et 14 décembre 1944 un communiqué, repris par plusieurs titres dont le « New York Times » : "... la nouvelle arme aérienne nazie... nouveau dispositif mystérieux de guerre... des objets argentés volants en forme de boule... " Dans les années qui suivent, d'autres journaux internationaux titrent : "... les nazis possèdent l'avion atomique capable d'atteindre 10.000km/h... des recherches nazies lancées dès 1943 ont permis à Hitler de construire des prototypes secrets volants...". Des journaux publiés en Europe de l'Est diffusent même des schémas et des plans d'engins volants discoïdaux : "... la soucoupe de guerre de Hitler est la A7 (V-7)...".
 
Un peu plus tard paraît un autre article avec le titre : "... l'O.V.N.I nazi..." sous lequel un dessin montre une soucoupe passant près du sol, avec une traînée de condensation dans son sillage. Le relais est pris rapidement en 1950 par « Il Giornale d'Italia » : "... les disques volants ont été conçus dès 1942 en Italie et en Allemagne...". En 1952, le journal « Tempo » évoque les V-7 "... Entre la vérité et le roman, la Russie possède la clef d'un prodigieux secret allemand : le V-7...". Plusieurs clichés, censés avoir été pris en 1942, montrent une soucoupe volante en évolution près du sol. La presse allemande elle-même, dès 1950 dans « Der Spiegel », publie les schémas en coupe d'une soucoupe volante "Projekt - Flugkreisel Schriever". L'objet mesure 14m40 de diamètre sur 3m20 de haut et se déplace par des moteurs à réaction, associés à un système de lames rotatives ! En 1952 le magazine « ZB Illustrierte » ouvre sa une avec le titre flash "... Une évidence..." Un unique dessin illustre la couverture de la revue : un groupe d'hommes dans la campagne visiblement vêtus d'uniformes, regarde en l'air et voit à basse altitude un disque volant en mouvement. Une traînée de fumée laissée derrière le disque indique le sens de déplacement et plusieurs manœuvres serrées. En 1953, c'est Weltam Sonntag qui publie des révélations, photos à l'appui, d'une soucoupe volante testée à Prague en 1945 ! Toujours en 1953, le « Deutschen Illustrieten » titre "... la soucoupe volante observée en Allemagne...". En 1957, le journal « Die Rheinpfalz » affirme que "les Martiens parlent Allemand". On pourrait croire que ce type de une a été abandonné par une presse assagie (ou muselée c'est selon) qui ne perd plus de temps avec ces informations sensationnalismes. Cet abandon serait d'autant plus logique que ce concept d'O.V.N.I.S nazis est peu rentable car trop abstrait pour la majorité des lecteurs de la presse magazine, habituée à des accroches visant le plus souvent en dessous de la ceinture. Il n'empêche que deux titres phares de la presse allemande, « Stern » et « Blid », dans leurs éditions de décembre 2004, au moment de la sortie du film « La chute » qui raconte les derniers jours d'Adolf Hitler dans son bunker de Berlin au moment de l'arrivée des troupes russes - ont ouvert leurs unes avec : "... les Historiens dévoilent les projets d'Hitler sur un engin volant discoïdal..." , "... Hitler a projeté la construction de soucoupes volantes..." ! Le ton est donné, le tempo est maintenu. Depuis 60 ans, régulièrement, la presse se fait l'écho des projets secrets que le Reich aurait initié : la construction d'une soucoupe volante.
 
Des documents Top Secret
Existe t-il des pièces officielles attestant que les Allemands ont travaillé sur des disques volants ? OUI ! Selon des sources publiées par le site « web Photovni ». Un document daté du 7 août 1947, émanant des services de renseignement américains en Allemagne, révèle l'existence d'une lettre signée par H.A. Ahuis. Ce dernier écrit à l'ambassade des USA en Allemagne et soulève la question des disques volants. Il explique qu'il s'est lui-même penché sur le sujet et qu’il a réalisé diverses expérimentations depuis 1936. Il est prêt à poursuivre des recherches au États-Unis ! En 1953 un ingénieur allemand affirme que les Soviétiques ont une soucoupe allemande ainsi que des plans. Le document est de la CIA et mentionne un rapport venant d'Athènes : "(...). les soucoupes volantes sont connues actuellement depuis que la possibilité de leur construction a été prouvée grâce aux plans élaborés par des ingénieurs allemands vers la fin de la seconde guerre mondiale (...)".
 
Georges Klein, un ingénieur allemand a déclaré (il apparaît photographié dans un article d'avril 1953 sur les soucoupes allemandes, dans le « Welt amSonntag ») (...) que les soucoupes volantes sont un développement d'après guerre, alors qu'elles furent en fait dans les prévisions des programmes de planification des engins aériens dans les usines allemandes dès 1941." Plus loin dans le document, Klein affirme être à Prague en février 1945 et assiste au premier vol expérimental d'une soucoupe volante ! Des détails sont même donnés sur les performances de l'engin : il s'élève à 12.400m d'altitude en moins de 3 mn à une vitesse de 2.200km/h. L'ingénieur indique même que ces appareils peuvent voler jusqu'à 4.400km/h. Ce document de la CIA met encore en lumière que trois prototypes avaient été mis en service fin 1944. Les formes étaient variables. L'un des appareils était discoïdal pour un diamètre de 42m. Un autre appareil avait la forme d'un anneau, avec le poste de pilotage central et sphérique. Le document précise plus loin : "Durant les derniers jours de la guerre (...) les ingénieurs stationnés à Prague exécutèrent les ordres de destruction complète de tous leurs plans concernant les prototypes, avant que les forces soviétiques n'arrivent. Les ingénieurs stationnés aux usines de Miethe à Breslau, ne furent pas avertis à temps de l'approche des troupes soviétiques qui réussirent donc à saisir leur matériel..." D'autres documents existent, notamment un rapport US émanant du FBI, daté du 8 juin 1967. Un informateur a signalé avoir photographié un des engins mystérieux en novembre 1944. Ce personnage est un ancien de la Luftwaffe, engagé sur le front russe. Fin 1944, il est démobilisé et affecté en tant que pilote d'essai. Il expérimente un projet secret en Forêt Noire.
 



Ci-dessus, le rapport en question du FBI
 
Voici ce que dit le rapport : "(...) il examina l'appareil (...) il avait la forme d'une soucoupe volante d'environ vingt et un pieds de diamètre, commandé par radio (...) plusieurs moteurs à réaction étaient fixés autour de la partie extérieure du vaisseau (...) Sa responsabilité fut de photographier l'objet en vol. L'appareil (...) construit par un ingénieur allemand dont il ne saura pas (...) où il se trouve. (...) On suppose également que les secrets concernant cet avion ont été recueillis par les Forces Alliées." Si ces pièces mises en lumière sont vraies, elles constituent des éléments majeurs attestant des travaux allemands sur les engins circulaires non conventionnels et d’autres avions non répertoriés officiellement. A ce niveau de l'histoire, nous avons divers témoignages indiquant qu'en 1945 les Russes et les Américains, chacun de leur coté, auraient récupéré des informations stratégiques sur ces appareils volants militaires. Par ailleurs, des témoins divers, responsables dans ces programmes, auraient vu et photographié les soucoupes volantes allemandes !
 
Le rapport secret Américain
Un autre rapport secret existe. Il émane du bureau du gouvernement militaire américain pour l'Allemagne, basé à Berlin, en date du 16 décembre 1947, signé du lieutenant colonel Harry H. Pretty. Le document cite les frères Horten, inventeurs des avions allemands en forme de delta portant leur nom : "(...) les deux hommes ont travaillé ensemble sur le Horten VIII, aile volante prévue pour être un avion de combat équipé de deux moteurs à réaction de 650 chevaux chacun (...) Walter Horten est allé jusqu'aux essais sur le Horten IX (...) Cet avion a été testé dans un tunnel de l'institut d'aéronautique situé à Goettingen. Les essais étaient conduits vers la fin de l'été 1944 sous la surveillance du professeur Betz, chef de l'institut. Betz était considéré comme le meilleur spécialiste sur l'aérodynamique en Allemagne à cette époque (...) Deux Horten IX ont été construits et essayés par un pilote de la Luftwaffe, Eugen, à l'automne 1944 (...) La vitesse atteinte était proche de 950km/h, mais le vol présentait des risques de crash, avec un danger de rotation en vol de l'avion. Malgré tout, le Horten IX a été validé par la Luftwaffe. Goering a lancé la production immédiate en janvier 1945 (...) mais la production n'a pas pu aboutir (...) : l'armistice en mai 1945 bloqua le projet (...)
 

A gauche, l'Horten Ho-XIII en vol ; A droite l'Horten Ho-229
 
Il semble que les alliés n'aient pas pu obtenir les appareils d'essai qui étaient cachés dans une mine de sel proche de Salsdettfut (...) Les Britanniques, seuls, auraient néanmoins récupéré des prototypes ou des plans en été 1945 (...) Les frères Horten ont été interrogés en Angleterre et ont tenté de négocier leurs travaux. Walter Horten aurait été rémunéré par les Anglais d'octobre 1945 à avril 1946 (...) Aucun autre appareil ne semble malgré tout avoir été produit (à ce moment-là) (...). En 1947, les USA ont lancé le programme Northrop, un avion à ailes delta, une sorte de copie améliorée du Horten (...) Les frères Horten et les spécialistes ayant travaillé sur les avions allemands à ailes delta, déclarent que le concept d'un appareil allemand en forme de soucoupe volante n'aurait jamais existé...". Information et contre information se succèdent. Les témoignages varient sur la forme discoïdale, mais tous attestent d'expérimentation de prototypes secrets non conventionnels.
 
Les foo-fighters
Les foo-fighters
Rappelons l'histoire des foo-fighters. Ces phénomènes lumineux poursuivaient ou accompagnaient les différents avions engagés dans le conflit, durant une partie de la seconde guerre mondiale. Les Allies pensaient évidemment à une arme secrète nazie, les Allemands, eux, à une arme secrète des Alliés. De nombreux clichés authentifiés existent de ces O.V.N.I.S, mais il est difficile de parler ici de soucoupes volantes. Les foo-fighters ressemblaient à des boules de lumière, denses et blanches, semblant suivre les avions à très faible distance des ailes. Certains chercheurs pensent qu'il s'agissait d'une sorte de prototype de drone nazi radiocommandé. Leur mission consistait à s'approcher suffisamment près des avions Alliés pour créer des perturbations électriques et faire ainsi caler les moteurs pour provoquer le crash final. Si tel était le cas, il semble que ces engins n'aient heureusement pas obtenu les résultats attendus. Quoi qu'il en soit, plus de 60 ans plus tard, ce mystère de l'ufologie n'est toujours pas élucidé.
 

Ci-dessus, photographie de foo-fighters parmi des bombardiers en vol pendant la seconde guerre mondiale
 
Des faits contradictoires
Des faits contradictoires
A ce stade, nous sommes face à des éléments convergents et divergents. Des scientifiques après la guerre parlent ; certains disent avoir suivi des expérimentations d'engins en forme d’une soucoupe volante ; d'autres disent avoir travaillé sur des avions à ailes delta sans jamais avoir entendu parler des fameuses soucoupes. D'autres pilotes allemands ont vu des engins aux formes insolites ou d’autres aux performances inhabituelles évoluer dans le ciel. Informations et contre-informations se croisent. Mais de tout cela se dégage la certitude qu'il y avait bien "quelque chose" que les nazis expérimentaient et que ce "quelque chose" n'était pas conventionnel. Cette activité était centrée sur la recherche de l'arme secrète qui leur aurait permis de gagner la guerre.
 
Les V-1 et les V-2, les armes secrètes officielles
Les seules armes secrètes officiellement admises par les experts sont les V-1 et les V-2. Il s'agit de bombes volantes et de fusées porteuses d'explosifs puissants que les nazis ont expérimentées et utilisées juste avant la fin de la guerre. Le père de ce programme est Wernher Von Braun. Ce dernier, mort en 1977, naturalisé Américain, est à l'origine de la conquête spatiale américaine au sein de la NASA. Les V-1 ressemblaient à des sortes de bombes volantes munies d'ailes et d'un réacteur dorsal, lancés à partir d'un avion ou de rampes au sol. Les V-2 étaient de véritables fusées porteuses d'une charge destructrice. Les V-2 ont bombardé, depuis l'Allemagne, la Belgique, la France, l'Angleterre et la Hollande principalement.
 

Ci-dessus, les fusée V-1 et V-2
 
Mais il y eut d'autres armes secrètes, moins connues, comme le V-3 (canon à TRES longue portée d'un calibre de 150mm) et le V-4 (missile sol/sol non guidé baptisé le Rheinbote). Citons encore d'autres armes quasiment oubliées des spécialistes et présentes sur ce site sous la rubrique "Les armes top secrète de l'axe" : la Schlanke Berta (engin balistique), le Feuerlilie F-25 et F-55 (missiles sol/air), l'Enzian (missile anti-aérien), le Reintocheter R1 (missile sol/air haute altitude), le Wasserfal (missile antiaérien radioguidé), le Schmetterling (missile à carburant liquide), le X4 (missile air/air guidé), le HS 293 et le Fritz X (missiles air/mer). Ces engins ont été testés et utilisés entre 1940 et 1944 mais on peut considérer qu'ils n'ont guère dépassé le stade de prototype. Leur mise en œuvre opérationnelle fut très limitée et classée top secret. Néanmoins on retrouve quelques clichés rarissimes de ces armes volantes.
 
La soucoupe volante de BMW
Deux ingénieurs allemands ont dominé l'ensemble de tous ces prototypes dans les années 40, en travaillant sur des avions secrets opérationnels. Alexander M. Lippisch s'orienta vers les appareils à réaction très courts et à ailes delta de plus en plus accentuées et Viktor Schauberger qui débuta ses travaux dès 1922 pour aboutir en 1940 à un engin en forme de soucoupe volante fonctionnant sur la répulsion électromagnétique.
 

A gauche, Viktor Schauberger ; Au milieu, un des tous premiers O.V.N.I.S expérimentés par Schauberger ; A droite, Alexander Lippisch
 
L'appareil est la parfaite soucoupe volante telle qu'on l'imagine. Mais les travaux de Schauberger sont restés au stade expérimental. Y-a-t-il eu une vraie soucoupe volante en Allemagne ? La réponse est OUI ! Nous en avons retrouvé la trace. Le modèle a été construit par BMW. Il s'agit d'une Flügelrad I V-1. Sa structure était en aluminium et peinte en gris. Ses premiers essais ont eu lieu sur l'aérodrome tchèque de Kbely entre août et septembre 1944. L'engin était un disque surmonté d'une coupole abritant le poste de pilotage. Le système de propulsion était sous la structure, avec un train d’atterrissage à quatre roues. Lors des essais, le rotor a commencé à tourner et l'appareil s'est élevé à une hauteur d’un mètre. Il a volé sur 300m avant de faire un atterrissage forcé.
 

Ci-dessus, la Flügelrad I V-1
 
Le diamètre du disque était de 6m. Le vol fut peu concluant, mais il s'agit bel et bien de la première soucoupe volante attestée construite par les nazis ; sorte de compromis entre l'avion à réaction et une structure discoïdale parfaite. On en trouve d'ailleurs la trace dans une étude historique faisant référence en la matière, publiée vers 2000 : "Hitler's miracle weapons", de Friedrich Georg aux éditions Helion. Ce livre est tout sauf un ouvrage "soucoupiste", n'en déplaisent aux contradicteurs. Le Flügelrad y est présenté comme une réalité expérimentale, mais une réalité tout de même. Un schéma en couleurs illustre d'ailleurs le texte. BMW construisit un autre engin, le Fügelrad I V-2, peint en jaune. L'habitacle était plus grand permettant à deux pilotes d'y prendre place. Le diamètre de la soucoupe passe à 8m. C'est à l'automne 1944 que sont organisés les premiers essais de cette version sur l'aérodrome de Neubiberg près de Munich. Mais les problèmes de stabilité de l'engin circulaire sont toujours une gène au vol durable. Un troisième prototype est construit en février 1945, le Flügelrad II V-1 ; même structure avec un diamètre encore plus grand : près de 13m. L'appareil secret est à nouveau essayé à Kbely. Les ingénieurs et les responsables de la Luftwaffe sont actifs, ils lancent encore trois autres versions : Flügelrad II V-2 et V-3 et le Flügelrad III. Les versions V-2 et V-3 semblent avoir été plus stables en vol. Il existe une photo montrant le II V-2 en vol. Du fait de l'arrivée des Alliés, tous les essais sont stoppés en avril 1945. L'ensemble des prototypes et de la documentation ont été détruits par les militaires et scientifiques du Reich. On trouve seulement, en provenance de l'actuelle république tchèque, des représentations artistiques de l'objet en vol sans aucun détail technique, mis à part pour le Flüglrad I V-1 (poids de 3t) et le Flüglrad III (diamètre de 24m et une vitesse théorique de 1.000km/h). Alors, rumeurs ou incroyable vérité ?
 
Vril et Haunebu
Il faut attendre les années 90 pour qu'un livre allemand de Jan Van Helsing, publié en Français en 1995 sous le titre "Les sociétés secrètes et leur pouvoir au 20ème siècle", fasse à nouveau l'effet d'une bombe dans le milieu ufologique. L'ouvrage publie les plans des prototypes militaires allemands des Haunebu I, II, III, ainsi que celui du Vril I et du projet Androméda. En fait, de parfaites soucoupes volantes sans aile que l’on qualifierait aujourd'hui d’O.V.N.I.S. Ces plans sont synthétiques avec des annotations techniques. Ils sont écrits en Allemand et possèdent le logo de la SS. L'ensemble est accompagné d'une série de clichés montrant ces engins en vol, marqués du sigle runique de la SS ou de la croix de la Luftwaffe !
 

Ci-dessus, plans des Haunebu I, II et III
 
L'auteur Jan Van Helsing garde l'anonymat et utilise ce pseudonyme pour avancer à visage caché. Même son éditeur allemand, Ewertverlag, ne le connaît pas directement. Leurs échanges se sont passés par courriers anonymes, sans adresse pour répondre. Depuis la parution du livre, de nouvelles photos et de nouveaux plans des Vril et Haunebu circulent dans le monde, sans que l'on sache d'où elles viennent. S'agit-il d'une vaste opération de désinformation ? Il y a trop de documents différents pour penser que tous sont faux ? Les Photos connues ont visiblement été réalisées par plusieurs sources. Elles sont en noir et blanc ou en couleurs. Elles montrent indifféremment ces engins au sol ou en vol. Certaines de ces soucoupes volantes portent des marquages militaires allemands. Quelques images sont même estampillées avec une référence d’archives militaires allemandes. Encore plus étonnant, on trouve aussi quelques photographies montrant ces Vril et Haunebu en vol, avec des avions classiques à l’arrière plan ! Ces images ne sont bien évidemment pas des preuves, et sans doute de splendides faux se sont glissés dans ces collections. Elles représentent en tout cas ce que des témoins de l'époque ont vu en Allemagne durant la seconde guerre mondiale.
 
L'origine des documents
Il faut se demander pourquoi ces documents apparaissent aujourd’hui comme par enchantement, après avoir passé plus de 50 ans dans les armoires blindées de certaines agences. Tout d'abord, il faut admettre que dès les années 50, certains témoins de l'époque disaient avoir photographié ces appareils. D'autres prétendaient avoir sauvé des pièces et des documents à leur sujet. Ce détail tend à accréditer l'authenticité d'une partie au moins des documents. D'autre part, la guerre froide est terminée depuis 1989 et les enjeux Est/Ouest ne sont plus les mêmes. Le monde a changé de configuration ; l'attention des peuples est focalisée sur d'autres sujets de préoccupation. Nous sommes entrés dans une ère nouvelle, avec une nouvelle donne, de nouveaux accords, de nouvelles priorités, et de nouveaux dangers qui menacent. Ces documents qui présentaient une importance stratégique capitale dans les années 50/60, ne représentent plus le même intérêt dans les années 90, et encore moins aujourd'hui. On pourrait donc imaginer qu'un organisme distille lentement ces documents dans le public, afin d'éviter que tous les faits ne soient révélés d'un seul coup par des groupes de pressions incontrôlés... Dans un monde d'informations où les secrets finissent toujours par se savoir, cet organisme a donc jugé préférable de lever progressivement le black-out, tout en mêlant aux données certains faux et mensonges qui pourront s'avérer utiles le cas échéant. Le rythme "homéopathique" des révélations anesthésie au fur et à mesure ceux qui en prennent connaissance. Chaque information tombe dans une amnésie molle avant que n'apparaisse la suivante. En terme de stratégie de communication, c'est ce qu'on appelle la gestion de crise ou le contrôle des fuites...
 
La nomenclature des projets volants nazis
Au travers des pièces aujourd'hui disponibles, dans la littérature, les archives de presse, les documents de groupes ufologiques ou sur le net, il est possible d'établir une sorte de nomenclature de ces appareils volants discoïdaux allemands. Par prudence nous l'aborderons au conditionnel, mais de nombreux indices existent. Le plus connu est la Vril 1. Il aurait été testé entre 1934 et 1945. Les prototypes seraient allés jusqu'à la Vril 9 en 1945.
 

Ci-dessus, plan de la Vril 9
 
Après la série Vril, on trouve les RFZ testés de 1934 à 1940, engins qui allaient donner naissance à la Haunebu I expérimentée en 1939. La série Haunebu aura un type II qui aurait été construit en 1940. On passe ensuite au système Andromeda, avion gros porteur de forme cylindrique, sans aile, de près de 150m de long. Ce dernier projet n'exista sans doute jamais sous cette forme là, mais on trouve des clichés authentiques dans un autre projet proche, le DFS 346 - intercepteur à moteur fusée. On trouve trace du DFS après la guerre en 1948 du coté russe. Il fait penser à des descriptions faites notamment par le contacté George Adamski. En 1939 surviendrait le premier prototype de forme discoïdale : le Focke Wulf VTOL. Suivirent en 1945 le Horten IX et la série Gotha, des avions en forme delta. Le Gotha aurait connu pas moins de 4 modèles P60 A, P60 B, P60 C et P70. Avec certitude, on sait que les Horten ont bien fonctionné, ainsi que l'avion à hélice et à aile circulaire Sack AS6, parfaite soucoupe volante. Un autre appareil, le Focke Wulf Ta 183, petit avion court à réaction, est l'un des projets non conventionnels ayant le plus avancé. On trouve les plans de cet engin aujourd'hui ressortis d'études comme « Secret Messerschmitt Projects ». On voit donc constamment se mêler des informations concernant des appareils secrets réels et des prototypes supposés. Difficile de se repérer, info, intox, les deux à la fois ? Mais à l'étude de tout cela on reste convaincu qu'un fond de vérité incontournable émerge... intime conviction... !
 
L'opération Paperclip
Cette opération, souvent ignorée du public, atteste que les savants nazis avaient développé des technologies aéronautiques importantes, mais ils étaient également des experts en armes chimiques dont les psychotropes, sur les missiles balistiques et les armes à longue portée. L'opération Paperclip a été menée à la fin de la guerre par l'état-major américain dans le but de récupérer près de 1.500 scientifiques allemands. Ceux-ci furent affectés, par le Pentagone, à des recherches pour le compte des Etats-Unis, depuis les bases de White Sands au Nouveau Mexique et de Fort Bliss au Texas. Il se trouve que dès octobre 1946, l'Amérique fabriquait-elle aussi un avion-militaire en forme de soucoupe, le Chance Vought Skimmer, une aile volante quasi-circulaire pouvant atteindre les 850km/h.

A gauche, le Chance Vought Skimmer ; A droite le SackAS6
 
Ce modèle ressemble étrangement au Sack AS6 des Allemands. L'opération Paperclip a joué son effet. Suivront après d'autres modèles comme le Northop XB 35, inspiré des ailes delta des frères Horten. Les documents clefs sont encore à venir, pour preuve le déclassement récent, en 1997, d'un rapport top secret de l'air Force, provenant de « l'air Technical Intelligence Center, Wright-Patterson Air Force Base Ohio daté de février 1955 » : "Joint ATIC WADC Report on project silver bug, project N°9961". Il s'agit tout simplement des plans d'un prototype de soucoupe volante que l'armée américaine a testé dans les années 50. Ce projet était arrivé aux oreilles de la communauté ufologique, mais n'existait pas officiellement, tout au plus une rumeur ou un vague projet illustré de quelques dessins d'artiste.
 

Ci-dessus, le prototype de soucoupe mis au point par l'armée américaine dans les années 50
 
Ce rapport de 30 pages apporte un démenti. C'est un document préliminaire de conception, incluant des schémas en coupe de l'engin, ses caractéristiques d'exécution, les systèmes de commande et les problématiques de vol ; l'appareil est simplement nommé "Aircraft Project Y2". L'histoire de ce rapport indique encore que l’étude ébauchée dans ce mémo serait basée sur des travaux expérimentaux nazis ! Les pièces du puzzle se mettent en place. Les Vril et Haunebu ne seraient que des mythes, des légendes, mais la première puissance militaire du monde, en l'occurrence les Etats-Unis d'Amérique, teste juste après guerre des prototypes d'avions circulaires ou en forme de soucoupe volante. C'est beaucoup d'argent et de compétences engagés du jour au lendemain sur de simples rumeurs...
 
Conclusion
L'histoire des soucoupes allemandes ne remet pas en cause les fondements de l'ufologie. Le seul lien existant est le fait que des témoins aient vu des choses semblables à différentes époques. Pour l'Allemagne, il s'agissait d'armes secrètes expérimentales ; pour les dossiers O.V.N.I.S survenus après la guerre, il s'agit d'un phénomène X qui interfère avec notre environnement, sans lien entre les deux sources. La seule question qui reste véritablement en suspend est celle-ci : comment les ingénieurs allemands ont-ils pu dessiner des formes aussi en avance pour l'époque comme les ailes delta des Horten ou en soucoupe des Sack ou Flügelrad ? Gageons que les mystères des O.V.N.I.S allemands et des armes secrètes volantes du IIIème Reich ne sont pas près d'être élucidés. Récemment encore, dans des articles parus en 2005 aux États-Unis, un hebdomadaire people à grand tirage titrait : "A la recherche des soucoupes volantes nazies, les secrets des O.V.N.I.S de la seconde guerre mondiale", "L'armée de l'air allemande a fabriqué des O.V.N.I.S pendant la seconde guerre mondiale", "Des soucoupes volantes nazies sont cachées en Antarctique, une menace pour les USA" ou encore "Un V-2 trouvé sur la Lune". Le sujet n'a donc pas fini de fasciner les foules. Retenons simplement que l'histoire des armes secrètes volantes allemandes est rattachée à l'épopée militaire du 20ème siècle, histoire sur laquelle il est possible maintenant de faire des recherches par le biais des fonds d'archives. Et puis notons que plusieurs noms de scientifiques allemands sont liés à ces recherches des années 40 comme Arthur Rudolph, Hans von Ohain, Bernhard Tesman, Wernher Von Braun ... la liste n'est pas exhaustive. L'étude de cette partie de l'histoire passe donc par une approche objective, même si les noms et faits cités ne font pas l'unanimité et semblent déranger certaines convictions intimes. Les soucoupes volantes allemandes, les armes secrètes du IIIème Reich sont sans doute une histoire plus humaine que l'on imagine, mais en aucun cas une fantasmagorie pure comme on l’a trop souvent dit. Donc avec la prudence requise, l'enquête continue...


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