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Extra-terrestre à Varginha
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Au brésil à Varginha, des pompiers sont appelés pour capturer un étrange animal qui semble blessé...

À la caserne de pompier, le téléphone sonne, au téléphone, une voix masculine a indiqué les fourrés du Jardim Andere, un parc de la banlieue nord de Varginha. C'est donc là que les pompiers entamèrent leurs recherches, équipés des cages et des filets qui leur permettront peut-être de capturer la pauvre bête égarée, tatou ou félin...

Les pompiers s'attendaient sans doute pas au spectacle auquel ils furent confrontés. En bas d'un pente assez raide, près de la partie
boisée du parc, ils tombent nez à nez avec quelque chose de totalement inhabituel. Devant eux, accroupie sur ses deux pattes, se trouve une créature d'un mètre de haut, les yeux rouge sang, la peau brune et huileuse. La (,chose» porte trois bosses sur le front et, à la place de la bouche, on n'aperçoit qu'un tout petit orifice, d'où sort un étrange bourdonnement, semblable à celui d'un essaim d'abeilles. Visiblement, la « bête » est blessée.




RENFORT MILITAIRE
Tandis que les pompiers entreprennent de capturer l'étrange créature, leur chef s'empresse de téléphoner à une base militaire voisine. Le général Sergio Coelho Lima, commandant cette base, va aussitôt ordonner à ses troupes de boucler les abords du jardin public, et ce le plus rapidement possible: l'affaire est d'importance. Quatre pompiers parviennent finalement à prendre la créature dans leurs filets. À peine est-elle enfermée dans une caisse en bois qu'ils doivent la remettre aux militaires, arrivés sur place en un temps record. Pompiers et hommes de troupes vont ensuite quitter les lieux très rapidement. Le général Lima peut se féliciter d'avoir mené son opération de main de maître. L'étrange capture du Jardim Andere devrait demeurer confidentielle car, pense-t-il, les quelques civils présents sur les lieux ne pourront témoigner que de manière incomplète. Or un homme a assisté à la totalité de la scène, depuis le toit d'un immeuble tout proche: il s'agit d'Henrique Jose, un maçon dont le témoignage va donner une toute autre dimension à cette affaire. Un deuxième événement aura lieu le jour même. Et cette fois, non seulement les pompiers et les militaires vont être alertés, mais aussi un spécialiste local Jcs phénomènes ovnis, l'ufologue Ubirijara Franco Rodrigues. Sur la foi de plusieurs coups de téléphone, ce dernier va s'empresser d'interviewer trois jeunes filles qui prétendent avoir vu, vers 15h30, une créature étrange, tapie devant un immeuble bordant le Jardim Andere, non loin de l'endroit où la première créature a été capturée le matin même. Au moment de l'interview, l'ufoIogue n'est d'ailleurs même pas au courant de cette première apparition, et il ne fera le lien entre les deux événements qu'ultérieurement.



Le discours tenu par les jeunes filles à l'ufologue Ubirijara Franco Rodrigues est sans ambiguïtés: elles sont persuadées d'avoir rencontré le diable en personne; la (créature» portait trois bosses sur le front et ressemblait à un démon. Terrifiées, elles ont aussitôt pris leurs jambes à leur cou et traversé le parc pour se réfugier chez la mère de deux d'entre elles. Entre-temps, alertés par des habitants du quartiers, paniqués par l'apparition, les pompiers et les militaires sont arrivés sur place. La capture va être moins discrète que celle du matin: c'est sous les yeux d'une petite foule rassemblée dans la rue que la créature, qui semble elle aussi bien mal en point, sera encagée, puis disparaîtra, chargée dans un camion de l'armée.



Quelque temps après ce 20 janvier 1996, Ubirijara Franco Rodrigues croisa un autre ufologue, Rodrigues Pacaccini. Ce dernier avait commencé une enquête sur les événements du 20 au matin, mais il ignorait tout du deuxième incident. Les deux hommes crurent un moment qu'ils enquêtaient sur la même    apparition. Ils se rendirent rapidement compte qu'il s'agissait de deux faits distincts, mais indubitablement liés. Il décidèrent alors de mettre leurs ressources en commun et d'organiser une campagne d'affichage afin que l'ensemble des témoins se fasse connaître. Rapidement, la communauté des ufologues brésiliens sera informée de la capture par les militaires de ce qui semble être deux extraterrestres. Plusieurs publications brésiliennes vont même en faire état. Convergeront alors à Varginha une foule de curieux venus des quatre coins du pays, dont certains exprimeront avec insistance leur volonté de comprendre ce qui s'est réellement passé. Pour répondre à cette attente et élargir l'appel à témoins, les spécialistes organiseront plusieurs réunions publiques d'information et chercheront à impliquer la presse locale: en quelques jours, une soixantaine de témoins oculaires se feront connaître des enquêteurs.
 
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Varginha est une ville de garnison, et de nombreuses familles ont au moins un de leurs membres sous les drapeaux: les incidents du 20 janvier furent donc largement commentés dans les foyers de la cité. A plusieurs reprises, des personnes déclarèrent aux enquêteurs qu'un frère ou un mari avait soit assisté, soit directe ment pris part aux événements. Grâce à ces indications, les enquêteurs purent prendre contact avec les intéressés et, contrairement a une règle générale en matière de phénomènes ovnis, certains accepté rent bien volontiers de témoigner. Un fait n'est peut-être pas étranger à l'engouement suscité par cette affaire. Un policier présent sur les lieux et simplement égratigné par l'une des créatures, lors de sa capture, décéda deux jours plus tard. Si le communiqué officiel de l'hôpital indiquait une pneumonie comme cause du décès, la famille du défunt ne put jamais obtenir de renseignements plus précis concernant cette foudroyante affection. Quoi qu'il en soit, les langues se délièrent et les enquêteurs disposaient désormais de données de plus en plus précises. Ils purent bientôt reconstituer une «version officieuse complète»
des événements. Ainsi, d'après plusieurs témoignages, la première créature capturée le 20 au matin fut transportée à l'école des sous-officiers )- de Tres Coracoes, au sudest de Varginha. Et l'on n'en sait guère plus à son sujet. Ce n'est pas le cas de la deuxième, à propos de laquelle les informations sont plus détaillées.En croisant les différents témoignages recueillis, Rodrigues et Pacaccini, les deux ufologues décidés à tirer cette affaire au clair, purent établir que la deuxième créature avait été transportée à l'hôpital régional de Varginha, en fin d'après-midi, le 20 janvier. Selon des sources médicales, la créature fut transférée le même jour, ou le lendemain matin, à l'hôpital Humanitas de Varginha, bien mieux équipé pour soigner ses blessures. Mais cela devait s'avérer insuffisant puisque, selon des membres du personnel de cet hôpital, la créature y serait morte le lundi 22 janvier, vers 18 heures. Peu de temps après, au moins quinze médecins et un certain nombre de militaires, de policiers et de pompiers furent convoqués pour une étrange séance d'examen post-mortem. L'une des personnes présentes raconte que la créature gisait, étendue sur une caisse en bois, au centre d'une salle. L'un des médecins aurait alors forcé l'ouverture de la minuscule bouche du cadavre pour en retirer doucement une langue noire. Après quelques secondes, le médecin relâcha sa prise et la langue se rétracta immédiatement. Les témoins de cette scène donnèrent d'autres détails sur la créature: elle avait toujours ses trois bosses sur le front et ne possédait que trois doigts à chaque main. Elle n'avait ni nombril, ni mamelons, ni organes sexuels apparents, ce qui laisse supposer un mode de reproduction très particulier. Conformément aux premiers témoignages, la peau à l'aspect huileux était de couleur brune et présentait d'importantes rides ou éraflures au niveau de l'articulation des jambes. Au terme de cette macabre présentation, le couvercle de la caisse fut remis en place et vissé. Deux militaires, masqués et gantés, enveloppèrent alors le tout dans un plastique noir, puis chargèrent la caisse à l'arrière d'un camion garé à proximité. Le lendemain matin, de bonne heure, un convoi militaire quittait la région de Varginha. Le corps de la créature venait sans doute d'être transféré à Unicamps, l'Université de Campinas, à 320 km au sud-ouest du lieu de sa capture. La piste du cadavre s'arrête là.. mais plusieurs éléments incitent les enquêteurs à penser qu'il fut en définitive récupéré par l'armée américaine. Divers recoupements semblent indiquer que le gouvernement américain a effectivement été mêlé à l'affaire. La présence d'un Américain fut signalée le matin du 20 janvier, lorsque la première créature fut capturée et chargée sur un camion militaire. Plus tard, au cours de la même journée, un avion de transport C-5 ou C-17 de l'US Air Force atterrissait à l'aéroport international de São Paulo. Deux jours plus tard, le même avion fin repéré sur l'aéroport de Campinas, proche de l'Université où la deuxième créature est supposée avoir été transportée après autopsie. Coïncidence? Cela ne signifie-t-il pas que les deux créatures, l'une vivante, l'autre morte, furent en fait acheminées vers les États-Unis? Il existe d'autres indices en faveur de cette thèse. En avril 1996, Louiza Silva, la mère de deux des jeunes filles terrifiées par l'apparition de la deuxième créature, indiqua que quatre étrangers étaient venus lui rendre visite. Ces hommes étaient habillés d'un costume de marque aux tons clairs. Ils lui offrirent «une somme importante en espèces » afin que ses filles reviennent sur leurs témoignages et prétendent avoir menti. Lorsque Louiza Silva refusa, les hommes promirent de revenir sur un ton peu amène, puis quittèrent les lieux dans une voiture récente, une Lincoln Continental bleue. Comment les Américains avaient-ils pu être si rapidement au courant de ce qui se passait à Varginha, une petite ville du Brésil? Pacaccini l'apprit plus tard en interrogeant un opérateur radar de l'aviation brésilienne. Celui-ci révéla que les autorités militaires brésiliennes avaient été informées par les États-Unis qu'un ovni entrait dans leur espace aérien. Les Américains furent également en mesure de préciser la latitude et la longitude de la route suivie par l'objet.
Cette information est corroborée par des centaines d'observations d'ovnis signalées dans la région de Varginha durant la période précédant le 20 janvier. Un agriculteur, Eurico de Freitas, raconta par exemple comment sa femme et lui furent réveillés par une agitation anormale des animaux de la ferme. Ils virent alors, par la fenêtre de leur chambre à coucher, un objet grisâtre, émettant une «sorte de fumée», traverser silencieusement les champs à environ 5 m du sol, avant de disparaître dans la nuit. Selon l'ufologue Pacaccini, les deux créatures capturées pourraient être soit d'origine humaine -peut-être le résultat d'une expérience militaire qui aurait singulièrement mal tourné- soit de véritables extraterrestres dont le véhicule se serait écrasé non loin de Varginha, et qui auraient erré jusqu'au Jardim Andere où ils furent pris. Mais, si l'engin s'était écrasé, où se serait produit l'impact? Ce genre d'accident devrait laisser des traces... Pacaccini prétend que ses recherches pour retrouver le site de cet éventuel crash ont été entravées par les militaires. L'enquêteur affirme même avoir reçu d'innombrables coups de téléphones anonymes le menaçant de mort s'il poursuivait ses investigations. Il est malgré tout possible que la vérité éclate bientôt. Une troisième créature serait toujours en liberté. En février 1996, à la sortie d'un virage, un automobiliste prit dans ses phares un être étrange à environ 50 mètres de sa camionnette. Il freina brutalement et vit la créature se protéger le visage, avant de disparaitre dans la nuit. Selon
l'automobiliste, elle possédait de grands yeux, des yeux « couleur de sang»...


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